Enfermés durant deux mois pour éviter la propagation du coronavirus et l’engorgement des services de réanimation, les Français rêvent d’un ailleurs plus vert. On parle de « l’effet confinement » qui pousse ceux qui ont souffert de la situation à délocaliser leurs projets immobiliers. Le télétravail a par ailleurs démontré ses atouts, mettant en évidence la possibilité de s’éloigner des grandes agglomérations.
Focus chiffré sur cette tendance.
Les projets immobiliers se tournent vers les côtes et la campagne
L’effet confinement dégage une nette tendance au désir de mise au vert. Selon un sondage CSA pour HomeServe, près de 20% des Français sur cinq souhaitent déménager à l’issue du confinement, et 21% des sondés prévoient même une augmentation de leur budget global d’achat.
Ce souhait s’explique par la frustration ressentie par une grande partie des Français durant les deux mois de confinement. A noter, 94% de la population est sagement restée dans sa résidence principale. Il est intéressant de remarquer que près d’un quart d’entre eux ont profité du temps libre pour diligenter des travaux pendant le confinement.
Ayant souffert de l’enfermement, particulièrement dans les petits logements typiques des grandes villes, les Français rêvent de vivre dans un lieu plus vaste, si possible avec terrasse, voire jardin, le must après deux mois d’enfermement ! C’est pourquoi selon un sondage OpinionWay, 70% d’entre eux éliraient bien un logement plutôt situé à la campagne : les zones purement rurales recueillent 32% des intentions, contre 23% pour les petites villes entre 3500 et 20 000 habitants. Ceci explique le succès prévisible pour l’immobilier au Pays basque, de même qu’en Bretagne, en Bourgogne, en Normandie, ou en Provence. Le littoral n’a pas fini d’attirer encore plus les candidats à une vie plus proche de la nature ! Tout le monde souhaite se mettre au vert et se rapprocher du grand bleu…
Le télétravail au service des projets au vert
Toutefois, 23% des investisseurs envisagent encore d’acheter dans une ville de plus de 100 000 habitants et 12% dans grande métropole régionale. Une ville comme Bordeaux, desservie par le TGV, verra probablement son attrait augmenter.
Autre fait nouveau, le télétravail imposé par le confinement a démontré toutes ses potentialités à de nombreux employés, de même qu’aux dirigeants d’entreprises. Les salariés savent désormais qu’ils peuvent s’éloigner géographiquement de leur lieu de vie professionnelle. C’est la raison pour laquelle de nombreux Parisiens désirent quitter la capitale. Si la moitié penche pour une résidence secondaire au vert, l’autre envisage même de vendre une résidence principale pour déménager, de préférence dans une maison sur la côte, proche d’une gare ou d’un aéroport. Les principales villes du Pays basque telles que Bayonne, Anglet ou encore Saint-Jean-de-Luz répondent à tous les critères recherchés ! Si vous envisagez un investissement dans le coin, n’hésitez pas à prendre contact avec nos conseillers.