Dans un contexte qui a mis à mal le marché de l’immobilier neuf, les potentiels acquéreurs, et particulièrement les primo-accédants, se montrent encore confiants dans ce type d’investissement. Portrait-robot des acheteurs en cette période de crise.
Un contexte difficile pour l’immobilier neuf…
Ces derniers mois ont quelque peu ébranlé le secteur de l’immobilier neuf. D’après la FFB (Fédération française du bâtiment), le marché du logement neuf aurait même chuté de presque un quart en un an. Elections municipales et chute considérable du nombre de permis de construire accordés, arrêt total du secteur du bâtiment lors du premier confinement, remise en cause du dispositif Pinel, durcissement des conditions d’octroi des prêts bancaires … les obstacles ont été nombreux pour les candidats à l’accession.
Mais des acheteurs toujours motivés !
Pourtant, plus de 40% des acheteurs estiment que le contexte est malgré tout propice à l’achat d’un bien immobilier. Et près des deux tiers d’entre eux considèrent encore l’immobilier comme une valeur refuge, même s’ils craignent une hausse des prix. Et ils optent pour l’immobilier neuf une fois sur trois. Enfin, l’expérience du confinement a fait exploser le besoin d’extérieur. Plus de 60% des acheteurs dans le neuf souhaitent acquérir une maison. Les balcons, terrasses et jardinets ont désormais, plus d’intérêts que jamais !
Focus sur les primo-accédants
Parmi ces potentiels acheteurs d’un bien immobilier neuf, 60% sont des primo-accédants, maintenant ainsi le marché grâce à leur confiance et leur motivation pour investir. Ils passent nécessairement par une demande de prêt dans 92% des cas selon une étude SeLoger. A leur secours, des taux d’intérêts encore bas et un prêt à taux zéro maintenu. Pourtant, le nombre crédits accordés à ceux qui effectuaient leur première acquisition immobilière a notablement chuté. Déjà, entre avril 2019 et avril 2020, il était passé de 34% à 26%, toujours selon la FFB. En cause, les prescriptions du Haut Comité de Stabilité Financière qui a sommé les établissements bancaires de conditionner plus rigoureusement l’obtention des crédits immobiliers.
Le budget des acquéreurs dans le neuf
Côté budget, l’enveloppe consacrée au projet immobilier ne semble pas avoir été touchée par la crise. Ainsi, plus de 80% des acheteurs prévoient de dépenser la même somme. Dans le détail, les deux tiers disposent d’un budget de 300 000 euros pour acquérir leur logement neuf. Les avantages de la VEFA confortent leur volonté d’achat : absence de travaux à prévoir, frais de notaire réduits, meilleure performance énergétique etc. La prorogation de la loi Pinel est aussi de nature à encourager les potentiels investisseurs dans le neuf.
Il semble donc que l’on puisse voire la coupe à moitié pleine, a fortiori au Pays basque, où le marché de l’immobilier conserve sa dynamique. Malgré la raréfaction de l’offre de biens immobiliers neufs, le groupe Robert Alday propose ainsi différents programmes en VEFA : de Saint-Jean-de-Luz à Bayonne, en passant par Anglet et Biarritz, mais également à Bordeaux. Pour en savoir plus, c’est par ici !